Les zones érogènes sont des choses complexes. Elles seraient apparemment partout sur un corps humain vivant, et pourtant nous ne savons presque rien d’elles.
Le concept d’une zone érogène est aussi intrigante car elle est insaisissable. Semi mythologie, semi fait scientifique. Voici quelques-uns des rares faits amusants que nous avons été en mesure de trouver sur les zones érogènes jusqu’ici.
1) Il existe deux types différents de zones érogènes: les zones non spécifiques et les zones spécifiques. Les Zones non spécifiques sont des zones pleines de beaucoup de « choses » comme de nombreuses terminaisons nerveuses que la peau régulièrement et autant de follicules pileux. Ceux-ci peuvent inclure des zones normales, mais quand même sensible, comme le cou, les côtés des bras, le lobe des oreilles, et les côtés du corps.
2) Le deuxième groupe est plein de zones composées de peau qui se réunit avec les muqueuses ou les organes sexuels, comme les lèvres de la vulve, la tête du pénis, le clitoris, le périnée et la région anale.
Fondamentalement, les zones associées au cycle de réponse sexuelle. Dans ces zones, les nerfs sont plus proches de la surface externe de la peau.
3) Appelez ça un cliché, mais le cerveau est considéré comme la plus grande zone érogène. Tous les sentiments érotiques commencent dans le cerveau.
4) 81,5 pour cent des femmes comptent leurs seins et les mamelons comme une zone érogène majeure qui les stimulent. Seulement 51,7 pour cent des hommes ont la même sensation sur leur poitrine.
5) Contrairement à ce qu’on pourrait croire, la science dit que les hommes ont presque autant de zones érogènes que les femmes.
6) Sur une étude comportant les genres, les races, les continents, l’orientation sexuelle et l’âge, les zones érogènes les plus populaires sont les organes génitaux (wow !), les oreilles, l’intérieur des cuisses, et les lèvres.
7) Le nombril est une zone érogène bizarre, mais puissante. Quand quelqu’un touche le nombril ou autour, certaines personnes peuvent ressentir des sensations érotiques. C’est parce que le nombril et les organes génitaux ont des tissus comme origine commune.
Pour certains, la stimulation est ressentie comme un chatouillement. Pour d’autres, ils se sentent comme si ils avaient envie de faire pipi.
8) Alors que la science peut nommer les zones érogènes les plus «populaires», sur les articles qui prétendent connaître le top 10 des meilleures zones pour chaque homme ou femme, c’est faux car il n’y a pas de règle absolue.
Chaque personne est excitée par des choses différentes. Ne présumez pas que ce qui marche sur un amant peut fonctionner sur un autre. Par exemple, une étude publiée dans la revue Cortex a constaté que les femmes évaluent la nuque à 7.51 (sur 10) sur l’échelle érogène, alors que les hommes donnent une moyenne de 5,65.
9) Des études ont montré que les zones les moins érogènes sur le corps humain sont le coude, le tibia, les rotules, le nez et le front. Il n’y a là aucun argument scientifique pour prouver ces dires.
10) Une nouvelle étude dans le « Journal of Sex Medecine » a constaté que, sur l’ensemble des zones érogènes de la femme, les mamelons et le clitoris répondent le plus à la pression et aux vibrations. Eh bien voilà qui explique l’industrie du sextoy
Et pour finir, un petit bonus : Dans un épisode de la série Friends intitulé « Celui qui posait une question embarrassante », Monica explique qu’il existe sept zones érogènes sur le corps d’une femme.
C’est faux : il y en a bien plus de sept. Bien qu’il existe des spéculations ailleurs sur Internet, le numéro fétiche «sept» qui l’a envoyée dans une crise d’euphorie était sans doute le clitoris, qui est un heureux donneur d’orgasme avec plus de 8000 terminaisons nerveuses.
Vous souhaitez connaitre les six autres zones ? Demandez à Chandler Bing ou commencez la discussion sur Disculte !
1 commentaire
Très…. instructif et passionnant !! Merci